Parmi plusieurs raisons qui motivent cette réplique à une touaille lue quelque part à tout hasard, il y a bien entendu, cette haine viscérale que certains humanoïdes continuent d’entretenir contre Sékou Touré, même plusieurs décennies après sa mort. Il suffit de parler du moindre bien de l’homme du 02 octobre 1958, pour voir s’enflammer leur haine sempiternellement active, comme une lampe à incandescence.
L’histoire, la voici ! ll y a quelques semaines derrière nous, à l’occasion d’une rencontre d’échanges avec les jeunes Guinéens, Hadja Saran Daraba, ancienne ministre est longuement revenue sur les acquis du régime de feu Ahmed Sékou Touré. Des unités industrielles jusqu’aux écoles en passant par les chemins de fer et le parc de bateaux et d’avions laissés en héritage par ce régime. Et grâce à la magie des nouvelles technologies, la vidéo a été partagée sur la toile pour que le message atteigne un maximum de personne. Apparemment, pour tout homme sain et en possession de toutes ses facultés, il très aisé de savoir que c’est un exercice d’information de cette jeunesse souvent sans repère crédible. Une jeunesse qui s’intéresse peu à l’histoire de son pays. Alors, qui mieux qu’une ancienne actrice majeure de cette histoire récente de la Guinée pour cet exercice ? Hélas! Il n’en fallait pas plus, pour qu’un certain Mamadou Lamine Bah, sorte du bois pour exhiber le déluge de sa haine, la profondeur de son aigreur, l’étendue de sa mauvaise foi, l’ampleur de son idiotie génétique, le summum de sa bêtise héréditaire.
De ses délires en errance, soutenus par les effets liés aux abus de produits impropres à la consommation humaine, on peut déduire deux choses : primo la haine de feu Président Ahmed Sékou Touré et secundo, l’aigreur d’assister à l’ascension d’une famille depuis de l’indépendance du pays. Malheureusement pour ce haineux de la pire des espèces, dans ses hallucinations dignes d’un dément cliniquement certifié, reconnait tous les acquis égrainés par Hadja Sara Daraba et y va au-delà, sauf qu’il se pose tendancieusement la question : mais dans quel état étaient ces unités quand feu Lansana Conté arrivait au pouvoir ? Pire, l’apostat se donne la peine d’expliquer par à-coups et lamentablement ses propres supplices d’apatride que d’admettre la vérité qui crève son apatridie.
Dans sa tentative de démontrer vainement que la respectable Hadja accuse le régime de feu Lansana Conté de bradage. Tenez ! Là, ce galapiat détraqué de M.L. Bah, tourne en dérision, possible seulement pour un mythomane endurci par une longue carrière. Ce renégat et chevalier d’une cause perdue ignore bougrement que, feu Lansana Conté a, plusieurs fois félicité publiquement Hadja Sara Daraba, en tant que ministre et femme au foyer. Les archives audiovisuelles peuvent l’attester.
Et patatras ! Le schizophrène de M.L. Bah explose son aigreur amplifiée par une frénésie contre ce qui est de plus sacré dans la société universelle : la famille. Le mari a été ministre, la femme a été ministre et voici que le fils est ministre aujourd’hui, écrit-il. L’aigri naturel méconnaît qu’aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années. D’ailleurs, en quoi avoir plusieurs ministres dans la famille est-il mauvais ? Si et seulement si, c’était sa famille allait-il beugler ? C’est là où s’affiche génétiquement sa haine à la solde d’une cause connue mais d’avance perdue. Le bon sens voudrait, du moins s’il en n’avait, qu’il demande à ses géniteurs pourquoi il n’y a jamais eu de ministre dans sa lignée ?
Le névrosé frappé de malédiction divine et dépossédé intégralement de toute once de sagesse, pousse son outrecuidance, jusqu’à s’attaquer innocemment à Aminata Touré et Alpha Ibrahima Keira, tous héritiers d’anciens dignitaires. Simplement par haine pure. La preuve que le sieur Mamadou Lamine Bah a urgemment besoin de traitements intensifs pour soigner sa démence chronique. Et comme si le bon Dieu était avec ces bons Guinéens auxquels il voue cette haine inextricable, à la fin de son fla-fla, le suppôt de l’impérialisme postcolonial se dévoile au grand jour.
Béla Kamano, journaliste
Soyez le premier à commenter