Décidément, les adversaires tapis dans l’ombre poursuivent leur campagne de lynchage médiatique contre le President du Conseil national de transition, Dr Dansa Kourouma dont l’intégrité et la droiture ne sont plus à démontrer.
Des posts sur les réseaux sociaux ou des torchons dans la presse en ligne, tous les coups sont ainsi permis, pourvu qu’ils servent de moyens sordides pour jeter de l’anathème sur le Président du CNT.
Il faut éclairer la religion de l’opinion publique sur les motivations réelles de cette propagande contre celui qui est qualifié par ses proches collaborateurs comme une colombe au regard de sa méthode orthodoxe dans la gestion. Il y a des personnes qui pensaient approcher le Président du CNT dans le but de faire de lui, un abreuvoir. Ayant lamentablement échoué dans cette entreprise, Dr Dansa Kourouma devient de facto, une cible sur laquelle, tous les coups sont assénés mais c’est mal connaître l’homme qui a bataillé pendant plus de 25 ans dans la société civile. Quitte à inventer, machiner des buzz voire de la diffamation, en publiant dans la presse en ligne : « pour s’installer, Dr Dansa fait payer 500 000 GNF à l’ARPT ». Les professionnels de l’information sont indignés de constater d’entrée de jeu, que la correspondancre ainsi attribuée au President du CNT n’est ni signée ni cachetée et pire, ne porte ni le logo du CNT ou encore le timbre authentificateur du Président Dansa Kourouma.
C’est ce qui fait dire aux connaisseurs de la presse que malgrè la carrière respectable de l’auteur de cet article, il ressemble plutôt à un simple tract publié sous la signature d’un journaliste.
Cette pratique qui n’honore guère cette noble profession est perçue comme l’œuvre d’un manipulateur tapis dans l’ombre et dont l’objectif est d’exploiter la plume d’un journaliste moyennant quelques espèces sonnantes et trèbuchantes, pour nuire à celui que « l’on qualifiait en fevrier et mars derniers comme un grand homme ».
Mais c’est mal connaitre l’homme Dansa dans son engagement et son opiniâtreté au service de l’Etat. Curieusement, au lieu de se confesser de ses forfaitures, le bourreau persistera toujours dans son hérésie. Qu’il sache qu’il est identifié et se reconnaîtra même s’il estime se cacher de l’homme. L’ange sait qui il est. Puisse t’il Dieu le pardonner de ses péchés ? Nul n’empêchera la volonté divine.
Sekou Sanoh, journaliste.
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